Télé 7 Jours - 20.07.2019 - 26.07.2019

(Elliott) #1

49


Lundi 22 juillet


À voir aussi

cky Man


FILM


Avec Dory, on replonge tous en enfance!


21.05Le Monde de Dory


Sainte-Marie-Madeleine


STEFFAN HILL/CARNIVAL FILM & TELEVISION LTD

2016 DISNEY/PIXAR

De la suite dans les idées
Treize ans après Le Monde de Nemo,
Andrew Stanton, son réalisateur, s’est
aperçu, à l’occasion de la sortie de
son chef-d’œuvre en numérique, que
Dory lui manquait : « Je me suis rendu
compte que je m’inquiétais pour Dory.
Que pouvait-il bien lui arriver?
Je voulais en savoir davantage sur
elle. Son apparente légèreté n’était
qu’un masque. J’ai compris que nous
devions raconter son histoire depuis
l’enfance. » Une belle idée pour des
retrouvailles réussies. Rappelez-vous,
dans l’opus 1, on avait tous craqué
pour ce génial poisson-chirurgien
à la mémoire défaillante. À la fois
si drôle et si touchante, Dory,
avouons-le, avait presque chipé
la vedette à Nemo.

Poulpe fi ction
Si tout le bestiaire marin a un pouvoir
de séduction évident, incontestablement,
dans cette suite, Hank, le poulpe
grincheux et protecteur, remporte la
palme du cœur. Le tandem improbable
qu’il forme avec Dory est un délice.
Créer ce personnage a été une
véritable gageure technologique.
On ne l’imagine pas, tant la fl uidité
de l’animation s’apparente à de
l’horlogerie suisse. « Il y a dix ans,
faire évoluer un tel animal à l’écran
n’était pas dans nos cordes »,
confi e Lindsey Collins, la productrice.
Et Stanton de révéler : « Nous avons
passé autant de temps sur lui que
sur un fi lm tout entier. Le premier plan
nous a pris six mois! » Le résultat
est tout simplement magique.

Un gros poisson
Avec plus de un milliard de dollars de recettes, cette suite est le plus
gros succès au box-offi ce de Pixar, avec Toy Story 3... et bientôt
Toy Story 4, puisque les chiffres du dernier bijou du studio d’Emeryville,
actuellement à l’affi che, s’annoncent encore meilleurs. J. Barcilon

La coéquipière dévouée
Clayton peut compter sur la confiance
et l’intelligence de son bras droit, la
détective Suri Chohan (Amara Karan).
Cette dernière, qui vit un amour
platonique avec Ben Grady (Ben
Aldridge), son partenaire au sein de
la Murder Squad, affiche un sérieux
à toute épreuve. Mais elle doit aussi se
résoudre à couvrir, coûte que coûte,
les décisions parfois discutables d’un
Harry Clayton possédé, malgré lui,
par les charmes de son bracelet.

La femme de l’ombre
Perchée sur ses stilettos, Lily-Anne
(incarnée par Jing Lusi), la téné-
breuse fille de Freddie Lau, a repris
d’une main de fer les affaires de son
père, à savoir la gestion des jeux clan-
destins et du blanchiment d’argent.
Traquée par Harry Clayton, qui sou-
haite percer tous ses secrets, elle
parvient à déjouer les soupçons qui
pèsent sur ses agissements. Avec
malice et une maîtrise certaine de la
manipulation...

Le caméo
En 2016, la série a été créée par Stan
Lee, scénariste et éditeur de Marvel,
disparu en novembre 2018. Depuis
1989, les scénaristes avaient pris
l’habitude de le faire apparaître (rapi-
dement) dans tous les films Marvel.
Et Lucky Man n’échappe pas à la règle.
Vous pourrez ainsi voir Stan Lee en
pleine séance de dédicaces lors du
premier épisode diffusé ce soir.

Clayton (James Nesbitt)
et Eve (Sienna Guillory)
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