Un pourtous, tous pour Proust.Sur les bancs de l’école ou allongés
dans un hamac, adolescents ou sexagénaires, ils sont tombés amoureux de l’œuvre de
Marcel Proust. Et ont rejoint le club des proustiens. Un cénacle que l’écrivain mort en
1922 est l’un des raresàavoir suscité parmi les grands auteurs classiques. Signe des temps,
ces heureux passionnés ne craignent plus désormais de s’approprier le texte de manière
très personnelle, en le disséquant dans des blogs ou surTwitter.Une frénésie encore
accrue par la parution, cet automne, d’un recueil de nouvelles inédites du maître vénéré.
parPhiliPPe Ridet—illustrationsyann kebbi