pleur en France. Largement relayés
par les médias qui se montrent plu-
tôt bienveillants à leur égard, très
actifs sur les réseaux sociaux, les
animalistes radicaux, nous de-
vons bien en prendre conscience,
ne nous importunent pas seule-
ment par leur haine aveugle de
l’homme, et du chasseur en par-
ticulier. Ils font désormais peser
une menace directe sur notre acti-
vité, et en particulier sur le Grande
chasse, qui doit nous contraindre à
mieux nous défendre en utilisant
tous les moyens de communication
disponibles.
Des détracteurs
impitoyables et haineux
L’État Français et ses magistrats,
prompts à légiférer à propos des
discours haineux sur les réseaux so-
ciaux quand il s’agit d’homophobie
ou de racisme (antiblanc générale-
ment exclu) se montrent d’une bien
étrange mansuétude envers l’impi-
toyable et féroce engeance anima-
liste, dont les plus virulents sont
considérés aux États-Unis comme
la seconde menace terroriste après
l’islamisme radical. J’en veux pour
preuve cette mésaventure survenue
cet hiver dans l’Allier : une voiture
conduite par une opposante à la
chasse a foncé sur le petit groupe
que nous formions et qui cheminait
sur un chemin forestier, dans lequel
figuraient une citoyenne austra-
lienne et deux ressortissants mon-
gols, dont l’un des chefs cuisiniers
du président Poutine. Parfait pour
l’image de notre pays! Nous avons
porté plainte, et comme il fallait
s’y attendre, l’affaire fut classée
sans suite par la procureure de la
République.
Nous apprécions aussi tout particu-
lièrement que nos opposants nous
qualifient de sous-hommes ou de
sous-race. Ce terme ne vous rap-
pelle rien? C’est ainsi que les nazis
désignaient les juifs. Par la magie
des réseaux sociaux, nous sommes
donc revenus, selon l’expression en
vogue chez nos gardiens des bonnes
mœurs et du politiquement cor-
rect (en clair notre nouvelle po-
lice de la pensée), "aux heures les
plus sombres de notre histoire", ...
“
Nos
opposants
nous
qualifient de
sous-hommes
ou de sous-
race. Or, c’est
ainsi que les
nazis
désignaient les
juifs. Par la
magie des
réseaux
sociaux, nous
sommes donc
revenus "aux
heures les plus
sombres de
notre
histoire".
”