Quelques mois après le bide ciné de son formidable
Assassination Nation, le jeune Sam Levinson vient
de dynamiter la télé US avec les mêmes ingrédients
ultra abrasifs. Trash, virtuose, bouillonnant et mélancolique,
Euphoria impose son showrunner comme l’auteur
que cette époque attendait. u PAR FRANÇOIS GRELET
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LEVINSON
FOCUS
DEUX FOIS
TOUJOURS
Euphoria confirme
l’explosion d’un auteur