PREMIERVÉLO
“Je n’ai pas de souvenir précis quant au mo-
ment où j’ai vraiment commencé à faire du
vélo. Je devais avoir cinq ou six ans quand j’ai
disputé ma toute première course. Cela devait
être en VTT dans ma région.”PREMIÈREIDOLE
“J’étais un très grand fan de Marco Pantani. J’a-
dorais le regarder courir pendant le Tour de
France. Je jouais souvent à faire la course dans
le jardin de mes grands-parents en me prenant
pour lui. Cela donnait lieu souvent à un sacré
duel entre Coquard et Pantani (sourire). J’ai-
mais vraiment son look et sa manière de courir.
Quand j’étais petit, il gagnait énormément.
Quand on est gamin, on s’identifie souvent au
vainqueur. Après, j’ai aussi beaucoup aimé Pao-
lo Bettini. Je m’identifiais également à lui d’au-
tant que comme moi il n’était pas très grand.”PREMIERSOUVENIR DE
VÉLO À LA TÉLÉVISION
“Quand Jérôme Pineau (son manager actuel,
Ndlr) fait une place de 2ème sur son premier
Grand Tour (à Pau battu par Patrice Halgand,
Ndlr). Je ne me souviens plus vraiment de l’an-
née (en 2002, Ndlr). J’avais été très admiratif de
ce qu’il avait fait. J’étais fan. Un souvenir mar-
quant.”PREMIÈREÉQUIPE
“L’US Pontchâtelaine. Je garde des souvenirs
intacts de l’école de cyclisme. On s’entraînait
au jeu d’adresse et ensuite on avait le droit de se
rendre sur le Vélodrome. La consécration était
justement de faire ensuite deux ou trois tours
sur la piste après avoir fait ces jeux d’adresse.
C’était un club très familial avec une très bonne
ambiance.”PREMIÈREPERSONNE
QUI A CRU EN LUI
“Je pense à ma maman. Sportivement parlant,
les premières personnes qui ont cru en moi ont
été Fabrice Lemarié et Sébastien Lecam, deux
entraîneurs piste. Ils m’ont pris en charge assez
vite”.BRYAN COQUARD : “Je me pre
Ses premières fois
“Julian Alaphilippe
mérite ce qu’il vit.”LE SPRINTEUR DE VITAL-CONCEPT, QUI A RETROUVÉ LE SOURIRE CETTE SAISON (DÉJÀ 7 VICTOIRES
FIN JUILLET), S'EST PRÊTÉ AVEC SINCÉRITÉ AU JEU DES PREMIÈRES FOIS. AVEC UNE TENDRESSE
PARTICULIÈRE POUR LE “PIRATE” QU'IL ADULAIT.