VSD N°2141 – Août 2019

(Brent) #1
Benjamin Rouve,
en train de gonfler les coques
de son bateau. En fonction
de l’état de la mer, leur dureté
ne sera pas la même.

Arrivée au sprint
après 12 minutes
d’une course
intense et physique.

À bord, ils sont deux : un pilote à la manœuvre et un copilote, positionné à l’avant, qui joue le rôle de singe afin d’équilibrer le bateau et éviter qu’il ne s’envole. Le choc serait d’une extrême violence


120 KM/H La vitesse de pointe
à laquelle peuvent naviguer ces
bateaux de course, généralement
sur des rivières ou des plans
d’eau, moins sujets aux vagues.
4,10 M C’est la longueur de
ces embarcations fabriquées
essentiellement en Afrique du Sud
par des constructeurs spécialisés.
50 CH La puissance maximale
autorisée sur les Thundercat, dont
les moteurs peuvent être préparés
en fonction de la catégorie.
1 MINUTE 18 SECONDES
Le record du tour, à Dieppe,
effectué par l’équipage n° 7 pour
boucler le parcours de 1,6 km.
Soit une moyenne de 74 km/h.

Le Thundercat
en 4 chiffres

N° 2141 - 55
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