14 / HORS-SÉRIE COMPARATIFS 2019 - MOTO REVUE
NÉO-RÉTRO MOTO GUZZI V7 ROUGH / ROYAL ENFIELD INTERCEPTOR / TRIUMPH STREET TWIN
À DEUX : Sa selle longue et épaisse
est une invitation au duo mais le
passager déchante vite. En cause,
des repose-pieds placés trop haut
et une mousse de selle qui se tasse
très rapidement. Conséquence :
une assise sur le coccyx et la
sensation désagréable de glisser
vers l’arrière. La massive
poignée centrale sauve un peu
les meubles. Un tout petit peu.À DEUX : À peu près aussi compacte
que ses concurrentes, la Triumph n’offre
pas des prestations de voyageuse, mais
une journée de balade en duo est
possible. Un avantage qu’elle doit à
l’ancrage de ses repose-pieds, au profi l
de sa selle rehaussé et à la bonne
qualité de son amortissement. Certes,
les poignées de maintien manquent à
l’appel mais la place laissée au passager
compense largement ce défaut.TABLEAU DE BORD : Unique machine
du trio à proposer un double affi cheur,
l’Interceptor est logiquement la seule
à proposer un compte-tours permanent
mais également la plus chiche en
informations. Elle se contente d’un
indicateur kilométrique secondé
de deux partiels et d’une jauge à
essence... et c’est tout. Au centre,
confondu dans l’habillage noir, le
bouton de sélection et de remise à zéro.TABLEAU DE BORD : L’image du passé
pourrait nous échapper avec cet affi cheur
fi nalement très moderne. Moderne mais
parfaitement bien intégré. Et drôlement
bien renseigné : jauge à essence,
ordinateur de bord, indicateur de
rapport engagé, température moteur
et même compte-tours numérique dans
le menu déroulant, modes moteur, etc.
Évidemment, tout ne peut pas être affi ché
en simultané mais l’ensemble est fl atteur.Triumph Street Twin Royal Enfi eld Interceptor
En duo
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En duo
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Pratiques et confortables?
Elles sont douces, câlines et idéales pour les virées estivales.
Un usage restreint qui ne va pas sans quelques sacrifices.
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