Mathieu, 32 ans,
technicien de
maintenance, père avant tout mais également pas-
sionné de bricolage depuis l’adolescence, utilisant
essentiellement des matériaux de récupération.
J’ai toujours aimé découvrir de nouvelles choses et
j’adore essayer de les faire moi-même. Je suis en ce
moment en pleine rénovation de maison, mais je me
garde toujours du temps pour la bricole : bois, acier,
cuivre... Et depuis quelques années, je partage mes
expériences et créations sur les réseaux sociaux
(YouTube, Facebook, Instagram). Je suis aussi pré-
sent sur des groupes Facebook comme « La Fabrique
française ». Au plaisir de vous croiser sur le Web! n
J’ai enfin fixé l’ensemble du dispositif sur une ancienne table de ma-
chine à coudre. C’est un bas si on est grand (pour moi, ça va !), mais
c’est parfait pour travailler assis!
La scie étant fixée sous la table, je
me suis rendu compte que la mise
en marche était problématique car
il faut sans cesse se baisser. Ce
n’est de plus pas très sécurisant
car il est difficile d’agir rapide-
ment pour un arrêt d’urgence
par exemple. Pour remédier à
ça, j’ai récupéré un bouton d’ar-
rêt d’urgence avec un contacteur
NO (« normalement ouvert ») de
manière à couper la phase lorsqu’on
appuie dessus. Et pour la
rallumer, il suffit de tourner
la clé et la scie redémarre
aussitôt... à condition évi-
demment d’avoir bloqué la
gâchette de la scie (ce que j’ai
fait avec un collier plastique de type
« rilsan » : ça fonctionne très bien). Pour
éviter de couper le câble de ma scie sauteuse – on
ne sait jamais, elle pourrait resservir un jour! – j’ai
également installé une prise en saillie sous la table.
Note : le mouvement pendulaire de ma scie sau-
teuse n’étant pas débrayable, cela m’empêche de
réaliser certaines découpes avec des rayons très
serrés et de faibles épaisseurs. Je vous conseille
d’éviter ce type de machine. Pour faciliter les opé-
rations de chantournage, je vous conseille égale-
ment d’utiliser des lames spécialement adaptées
(moins larges).
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« Matt bricole »