Paris

(coco) #1
de suite tombée amoureuse de l’endroit. J’y passe désor-
mais beaucoup de temps car je suis sous contrat avec un
des palaces de là-bas pour des séances de ma méthode de
bien-être Orahe.

Vous avez été mariée à David Hallyday, le père de vos
deux filles aînées, puis à l’animateur-producteur Arthur.
Conservez-vous des contacts avec eux?
Oui, je suis toujours proche de David et d’Arthur. Ma devise
étant de toujours garder le côté positif des événements.

Votre fille aînée, Ilona, a déjà 21 ans alors que votre
petit garçon Giuliano né de votre dernière union (avec
le restaurateur Pascal Ramette) n’a que 5 ans.
Et c’est sans doute le fait d’avoir eu un enfant tard qui
m’a donné un renouveau de vitalité! J’ai toujours été très
vigilante sur l’éducation que je donnais à mes enfants dans
une société où la notion de respect fait cruellement défaut.
Pour moi, le respect est primordial, d’où l’importance de
l’éducation. Je suis très fière d’Ilona qui commence à être
mannequin et actrice tout en ayant un don fabuleux pour
la peinture et le dessin. Je lui fais confiance pour l’avenir.
Quant à Emma, elle a 18 ans et se montre déjà très atti-
rée par la production de films de cinéma.

Vos années de mannequinat vous ont-elles laissé le goût
immodéré des vêtements?
Des vêtements, non, mais des chaussures, oui! J’ai depuis

toujours une passion incontrôlable pour les chaussures
qui sont dans mon dressing dix fois plus nombreuses que
les vêtements. Les paires de Louboutin côtoient celles de
Dior, leur confort étant pour moi la principale qualité.
Comme je suis très soigneuse, mes chaussures durent
longtemps et il m’arrive de porter des modèles vintage du
meilleur effet aujourd’hui! Je considère la chaussure
comme l’accessoire indispensable qui finit la toilette.

Comment vous voyez-vous dans dix ans?
Dans les dix années à venir, j’espère continuer à appro-
fondir mes connaissances sur le bien-être afin de les trans-
mettre toujours davantage. L’âge ne me fait pas peur et
j’estime qu’un corps et un visage se doivent d’être mar-
qués par le temps pour qu’y figurent les traces d’une vie.
À l’étranger, on me surnomme “the french nature girl”
et cela me plaît beaucoup. Et puis, pourquoi ne pas décli-
ner Orahe en centre de bien-être à Paris ou ailleurs? ■


J’avais l’image d’une fille


de l’été, saine et naturelle.


© SYLVIE LANCRENON.


圀漀爀氀搀䴀愀最猀⸀渀攀琀圀漀爀氀搀䴀愀最猀⸀渀攀琀

Free download pdf