Paris

(coco) #1
sontsculptées pour évoquer une féminine délicatesse.
Un travail en trois dimensions de la nacre grise ou blanche,
de la cornaline et d’œil-de-tigre se remarque sur les sau-
toirs, colliers, bracelets et boucles d’oreilles de cette ligne
joaillière. Sculptés et polis à la main, les matériaux propo-
sent un profil tout en bombé qui contraste avec la finesse
des chaînes en or jaune ou rose. Un clou doré, évocation
de ceux utilisés sur les malles Louis Vuitton, vient se piquer
au cœur de certains pétales. Si l’envie vous en dit, vous pou-
vez porter “à l’envers”
certains tours de cou
pour une allure plus sobre.
Quand il est question de
cercles, de circonvolutions et de volutes en
or et diamants, on pense immédiatement à de Grisogono
et àPiaget. Cette dernière maison lançait Possession en


  1. L’idée? Un anneau central pavé ou non, mobile qui
    tourne autour de la base du bijou. Les lignes épurées de
    ces pièces eurent un succès immédiat, jamais démenti
    depuis. En 2016, la maison suisse continue avec des ver-
    sions inédites : bracelets-bangles flexibles terminés par
    deux mini-motifs mobiles, bagues, et motifs d’oreilles
    en ors rose ou blanc et pavés de diamants. Les colliers
    sont imaginés ainsi : le premier en forme de torque,
    le second dit cravate dont le motif Possession cen-
    tral est réglable presque à l’infini. Afin de célébrer
    ces déclinaisons raffinées, Piaget a choisi la it girl
    Olivia Palermo comme ambassadrice de charme.


Dans les vitrines des boutiques de Grisogono, l’œil
est immédiatement attiré par les lignes Allegra et
Vortice. Ces pièces sont façonnées par une succession
d’entrelacs de fils d’ors jaune ou blanc et d’anneaux ellip-
tiques de métal précieux pavé de pierres précieuses. Bagues,
boucles d’oreilles et pendentifs se fondent avec la peau,
faisant corps avec la silhouette de la propriétaire, mais
sans l’impression d’être plaqués. Quant au bracelet Allegra,
ses fins rubans d’or sertis de diamants semblent simple-
ment s’enrouler autour du poignet.
Messikaet Chopard sont passés maîtres dans l’art
du diamant en liberté. La première maison, lancée par
Valérie Messika, fille du célèbre diamantaire André, s’éver-
tue depuis plus de dix ans à démocratiser cette pierre pré-
cieuse si chargée de symbolique en imaginant des créa-
tions contemporaines à porter au quotidien comme la
ligne Move. Trois diamants mobiles, enchâssés dans du
métal précieux, qui bougent au gré du mouvement de sa
propriétaire. Toujours dans un esprit couture et contem-
porain, Valérie Messika poursuit sa recherche avec de
nouvelles interprétations de ce classique. Tel un ruban
d’or aux diamants éclatants, le Move Noa devient le com-
pagnon idéal pour tous les jours. Les bagues et bangles
Romane viennent également compléter la collection.
Entre pleins et vides, la moderne asymétrie s’équilibre
avec les diamants en mouvement. La gamme Romane,
contrebalance le chatoiement d’un aplat d’or et la légè-
reté d’une rivière de diamants.
Tournoyants et joyeux, les Happy Diamonds ont ponc-
tué les grandes heures de Choparddepuis 1976. Avec
Happy Dreams, ces fameux diamants en liberté propo-
sent, par des cercles entrelacés et des courbes rondes et
pleines, un nouveau jeu de lumière. Un ou trois diamants
mobiles dansent dans un premier cercle central autour
duquel se déploie un entrelacs de deux ou trois autres
cercles. Chopard présente cette saison un collier, un long
pendentif, une bague et des boucles d’oreilles composés

JOAILLERIE


Messika
La maison dévoile
de nouvelles
interprétations de sa
célèbre ligne Move.

Piaget.
Collier façon cravate
et bague entièrement
sertie de diamants
sont les nouvelles
variations de la
gamme Possession.

•••

Louis Vuitton
Les célèbres motifs de
la toile Monogram
du malletier
sont déclinés en or,
diamants, nacre,
cornaline et
œil-de-tigre pour la
collection Blossom.


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