généraux marocains, Medbouh, Oufkir ,...savaient
pertinemment ce caractère de l’État profond marocain ,de
même en Algérie c'est l'armée qui possède cette longueur
d'avance d'ordre psychologique sur l’État profond algérien et
pour exemple , Saïd Bouteflika s’engorgeait de 20 milliards de
dollars sans que l'armée ne faisait quoi que se soit pour lui
mettre la puce à l'oreille qu'un jour l'armée lui posera la
fameuse question irakienne'' d'où provient cette somme
inconsidérée d'argent accumulé?''. au passage, en Algérie c'est
l'armée qui est dans une décision collégiale et donc a les
moyens de combattre la corruption de l’État alors qu'en Irak
Mustapha Kadimi, le nouveau premier ministre a la volonté
qui ne suffit pas. D'ailleurs Pompeo ne voulait en rien faire
rentrer l'armée américaine aux USA et l’État profond irakien
s'occupe plus d'un enrichissement personnelle car il fallait une
décision collégiale à commencer par oser faire une
constitution faite seulement par les irakiens...
Et donc la stratégie qui est aussi la prolongation de la
politique(quand politique exercée par des politiques
chevronnés) par les armes. Qui suppose que les voies de
communication politique sont insuffisantes pour se faire
entendre ainsi, un coup d'État militaire est cette stratégie pour
faire bouger les grandes lignes d'un État sclérosé ,occupé,
jusqu'à la moelle, à s'enrichir par des milliards de dollar alors
qu'un peuple et ces classes et je présume qu'il n'y a pas de
classe moyenne mais il existe au Maroc comme en Algérie
que deux classes une pauvre et misérable qui peut se traduire
par une fusion d'une classe moyenne et d'une classe
pauvre,car les fluctuations des ménages, du pouvoir