fonctions et j'aurais pu suivre avec une attention particulière
les hauts rangs militaires de l'armée algérienne pour faire le
travail du président Nixon à déterminer qui tire sur les
ficelles ;pour Nixon c'était Khrouchtchev et il avait vu juste,
alors qu'ici dans cette partie du monde tout se fait par usage et
abus d'usage, des tenants de vrai pouvoir exécutif. Qui de ces
officiers militaires supérieurs algériens qui oriente ,à sa guise,
la politique de tout un État algérien? Et il me semble, en
analysant , les faits et les comportements que cela se fait ,par
une stratégie irrégulière qui mène l'Algérie à un affrontement
militaire contre le Maroc et le même raisonnement est valable
du côté marocain. Il s'agirait alors d'une guerre régionale
atroce car il faut engager les peuples pour sauver les États
profonds. Et sur quoi se base les deux protagonistes y compris
leurs alliés ...
l’oubli des combattants ,est-ce une stratégie?
''Il en est ainsi arrivé (en 1977, par le protocole I de la
convention de Genève) à reconnaître un statut à des
combattants qui auraient été auparavant considérés comme
irréguliers, donc non protégés par le droit de la guerre, ce qui
pose aujourd’hui un problème dès lors que n’importe quel
mouvement de libération, voire des mouvements terroristes, se
réclament d’un tel statut.'' écrivait Hervé Coutau-Bégarie
dans son éditorial '' et il ne savait pas poser la question sur ces
militaires des pays francophones qui avaient fait les guerres de
France sans les octroyer la nationalité française , un octroie
d'office,de facto, ,car la France n'avait jamais pardonné à ces
officiers militaires marocains et algériens de dire la vérité et
de traiter ainsi l'état major français ,à Paris, de les abandonnés