profond en Algérie badine encore avec cette donne si on
croit à la conférence de presse du président de la
république Tebboune, un non sens quoi! On a
l'impression qu'il se croit le père Noël à instaurer un
système de paix avec l’État profond de Bouteflika mise
en cause par tout un peuple algérien qui souhaite,tout
simplement, de se libérer. Et que dire du
Maroc ,d’Égypte,...qui travaillent prudemment mais
insuffisants pour pouvoir instaurer un système
démocratique ,un État de droit qui leur fait peur. Car et
j'en conviens ,un peuple illettré aura tout le mal du
monde à se faire entendre et de comprendre la situation
et économique et financière voire sociologique et
psychologique de leur pays.
'' ...chez Hobbes,Locke ou Hegel,la force définit la
violence institutionnelle, celle d'un souverain ou d'un
gouvernement en charge d'une mission de police ,d'une
autorité légale ,alors que la violence s'oppose à un ordre
établi et produit des effets imprévisibles. Dans ces
définitions ,la force est éthiquement neutre et la violence
irrationnelle et excessive. Pour Hobbes ,par
exemple,celle-ci consiste en ''l'emploi illégal de
méthodes de coercition physique à des fins personnelles
ou groupales...'' écrivait Olivier Filleule dans son livre
''stratégie de la rue'' , dans notre cas de figure et en ces
débuts du XXI e siècle la force ne peut se différencier de
la violence car les deux mènent au même point à savoir
la robotisation des citoyens. Que cette robotisation par la