le noyau de l'argument est constitué ...''par la relation
entre l'impulsion et l'opposition qu'elle rencontre, entre
la volonté et la résistance à laquelle elle se heurte'' alors
que chez les arabes gouvernés ,malgré eux, tout est
impulsion et il n'y a pas d'opposition ou une autocritique
car cette impulsion peut se répéter autant de fois que
l’État profond en demande et pour intuition personne ne
mets en question ni la force de l’État profond car tout le
monde devine mais personne ne matérialise cette force
d’État profond en nombre et en identité de ces membres
car ils sont dispersés de part le monde... et encore plus
l'existence d'un État profond dans les rouages de l’État
classique et dans les structures de la société. Donc
l'existence d'un mode de vie que personne n'ose mettre
en question car la loi du nombre détermine à poser non
la question , d'une attitude psychologique basée sur une
psychanalyse de toute une populace afin que les choses
publiques ne soient pas trop entravées et que le train des
non reformes de l’État se poursuit car l'important est non
dans la politique de l’État ou encore sa démocratie mais
de remplir les comptes bancaires jusqu'à explosion au
point certaines banques en occident suggèrent à ce genre
de clients d'investir ailleurs et dans les pays dits en voie
de développement car quand un autre système politique
demanderait à ces banques de restituer l'argent de l’État,
ces banques ne peuvent commercialiser avec ces sommes
d'argents et les comptes seront bloqués car pour
commercialiser ces sommes d'argents il faut qu'il existe
rachid elaÏdi
(Rachid ELAÏDI)
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