rivières irakiens et dans les barrages irakiens dont la
source est la Turquie d'où Erdogan se permet le luxe de
bombarder les villages kurdes en Irak sans tenir compte
de Bagdad. L’Éthiopie est dans ce même cas de figure et
implicitement le Soudan de même. Donc
militairement ,la donne se complique de plus en plus
avec d'autres donnes géopolitiques de la région. À la
différence avec le Sahara occidental il y a la matière
première qui constituait un casus belli car il faut
démontrer que le Sahara occidental est vital au même
titre que l'eau pour l’Égypte et qu'il ne s'agit en aucun
cas d'une main mise sur toutes ces richesses, à l’Algérie
et au Maroc ,car défendre une cause et d’abord est de
supposer avoir la logistique suffisante pendant toute
guerre régionale , qui mettrait toute la région sous un feu
et provoquerait une guerre civile et changerait ,dans la
continuité ou la discontinuité une géopolitique est un
non sens de quoi est donc faite cette nécessité de défense
d'attaque et de s'armer contre un autre État qui exploite
déjà les ressources alors que la question du Sahara
occidental est encore en litige juridique ,au niveau du
droit international et pas au même titre que l'eau en
Égypte; il est possible que le Maroc exploite une partie
de son territoire et si les soussis demandent
l'indépendance comme font les rifains alors le Maroc
serait prisonnier de lui même ,un non sens.
Néanmoins le droit est là pour dire le
droit ,militairement si c'est nécessaire car tout cela dans