militaires marocains qui devrait être une politique
d’État,qu'aucun chef d’État n'a le droit de changer
d'ailleurs quand François Mitterrand président de la
république française dans les années quatre vingt n'avait
rien accordé à ces anciens combattants, des officiers
militaires et marocains et algériens,...pas d’octroi à la
nationalité française , pas d'évaluation de la pension, rien
ne s'est fait, dans ce sens ,et puis la gauche savait toucher
les cordes sensibles du général puisque l'objectif était
justement d'évincer le général et sa cinquième république
et un retour au micmac de la quatrième république avec
Pierre Mendes France à la tête comme en 1954 et sa
position ambiguë qui avait facilité la chute de Dien Bien
Phu et l’abandon des officiers militaires et
marocains ,algériens,...dans la jungle vietnamienne car
l'état major militaire à Paris suivait les instructions du
président du conseil ...sur ce point ,François Mitterrand
s'est glissé gentillement dans l'étoffe de la cinquième
république et il n'avait rien fait dans ce sens ; ni des
réformes approfondies, ni un retour à la quatrième
république et encore moins une sixième
constitution ,François Mitterrand était donc de passage,
une étoile filante, et non un politique au sens noble du
terme!
Mais nous remarquons que les anciens combattants
marocains dans les années vingt et trente étaient traités
avec un respect prudent. Certes le Protectorat par les
français et au début des années vingt était défendu par le