aide. Je suppose que le Yémen est dans ce cas de figure
car aussi il s'agit d'une guerre régionale d'une part avec
l'Arabie Saoudite et d'autre part à l'intérieur de Yémen
qui est une division du pays, un retours à un avant 1993
quand le Yèmen était divisé en deux ... et que chaque
côté se constitue comme un État souverain et que si
union existe de tout le territoire serait au profit de celui
qui est fort militairement. Mais comme
d'habitude ,l'installation des bases militaires et la
condition siné qua non pour toute intervention militaire
car sans l'aide militaire de l'Iran, l'Arabie Saoudite
n'avait pas besoin de constituer des alliances militaires
pour venir à bout des ‘’houtis’’ qui ne sont pas nombreux
en nombre ou armés suffisamment. La question militaire
se complique et un retour à des négociations politiques
fait partie d'une mission impossible. Car pour s'y faire, il
faut l'accord des États qui interviennent par intérêt
encourage ce côté politique qui suppose la remise en
cause des installations des bases militaires et donc un
démantèlement qui coûterait encore plus chère. Et
l'Algérie n'est pas seulement intéressée par un accès
directe à l'océan atlantique plus est intéressée par des
installations de bases militaires qui s’étalent jusqu'à l'
Atlantique. Et donc c'est le côté militaire qui prime car
sans cela les États seront tributaires du bon vouloir des
États à la frontière qui se considèrent comme les États
les mieux servis.
Les richesses naturelles comme source de guerre