événements à tout qui peut altérer de prêt ou de loin la
stabilité des membres de l’État profond. Cette raison
d’État est un semblant à un realpolitik mais ne tend pas
vers l’État classique qui sont les institutions de l’État
classique. Car qui réfléchit sur le déroulement et sur la
politique à suivre de l’État classique ce sont les membres
de l’État profond et qui sont aussi des lobby qui ont un
pied dans cet État profond et un autre ailleurs ; cette
catégorie est celle qui anime la deuxième catégorie et
c'est cette clique qui oriente réellement la plupart des
membres de l’État profond. Et donc par simple calcul
politique si les intérêts de ces membres sont
menacés ,c'est cette clique qui leur vient au secours et
donc tout travail mérite un salaire qui sont donc , les
membres de cette clique, sont récompensées largement.
La raison d’État fonctionne ainsi, quand l’État profond
se sent vaciller que la raison d’État intervient. Et comme
j'écrivais plus haut que la décision des membres de l’État
profond qui décident ou non d'une guerre régionale ou
toute autre décision qui concerne le déroulement de
l’État classique à l'instar de l'Irak qu'aucun premier
ministre et même si un changement de système politique
s'opère en faveur d'un système présidentiel ,les décisions
de grande envergure resteront entre les mains de l’État
profond dont le centre de commandement est situé chez
d'autres membres qui opèrent de Washington ou ailleurs.
Par exemple si Mustapha Kadimi, le nouveau premier
ministre irakien,veut changer le système en un système