qui sont encore à scinder entre d’autres États berbère de
Sous Massa, Rif, Atlas, des sahraouis de touarègue de
Kasr Essouk , Ouarzazate,... ils sont pressés au point de
faire des idioties ; encore une fois pas tous car personne
ne peut extrapoler un sentiment dominant. Et l’État au
Maroc à l’époque était paralysé par la situation de Siba,
à remarquer que la force engendre la force et donc il
n’existait pas, proprement dit, un essai politique avec le
Makhzen en vue d’une réforme approfondie de l’État
marocain et un consensus sur un système royal amélioré
ou une république consensuel. Et donc par voie de
conséquence, une société soudée et non scindée et c’est
sur quoi le colonialisme français s’est forcé à faire et
j’imagine le Maroc était une carte plus gagnante que
celle de l’Algérie. Les français avaient compris que les
berbères au Maroc comme en Algérie avaient pour idée
centrale un retour forcé ,à un régime d’antan celui de la
reine berbère Kahina et de Koceila ,une forme
d’esclavagisme et les arabes qui sont libres de naissance
constituent pour les berbères l’ennemi politique.
Les tergiversations politiques du général De Gaulle.
La carte berbère est sur quoi s'appuyait le général pour
renouer le dialogue avec le sultan Mohamed Ben Youssef
et le message est passé comme une lettre à la poste.
C'est cette question berbère que la France avait fait surgir
en Algérie avec les kabyles ,en situant le territoire à Tizi-
Ouzou et les berbères de Chaouia et les autres au sud de