si décision est collégiale ,il faut au préalable savoir qui
influe sur le collège des conseillés alors quand la
décision est celle du chef de l’État, il est donc facile de
le renverser pour que le cour des choses politiques
reprennent dans le sens voulu par les pays puissants. Et
ceci est valable pour les pays puissants concernant leur
politique interne et je mets en exergue,d'une façon
légère, l'assassinat du JF Kennedy que si son frère
Robert en 1968,était élu, alors la vérité serait connue sur
les assassins de Kennedy , Johnson n’avait pas ouvert
cette enquête approfondie car ,entre autres , il était
éloigné du président Kennedy au profit du frère du
président ,Robert était-ce ,pour Johnson, une revanche
ou connaissait-il lui même les assassins du président
Kennedy et même de Robert? Grand débat qui n'en finit
pas ,comme l’autre débat sur Abraham Lincoln ou l’autre
débat arabe sur Sadate et même Nasser. En tout cas c'est
pour révéler qu'une décision collégiale n'expose jamais
le chef de l’État à une telle manigance...
Évidement, je ne peut être d'accord sur ce qu'écrivait
Alain Bauer '' ..les passions révolutionnaires hostiles à
la liberté fleurissent sous la bannière de la religion- du
Maghreb au Pakistan en passant par l'Iran ou par
l’Égypte,ou du populisme- ...'' et je m'inscris en faux car
en ce qui concerne les pays arabes rien ne les
influencent ; ni Marx, ni le totalitarisme et encore moins
la religion musulmane. Car il faut avoir à l'esprit que le