la plus froide que surgit la vérité, même pour ceux qui s’y
sont opposés, par ignorance ou par volonté.
C’est dans le plus profond de la nuit que le printemps
renaît, c’est au plus profond de votre cœur, comme de
toute souffrance, que la Lumière apparaît à votre regard et
à vos sens. Les résultats sont permanents et ne dépendent
que de votre acceptation, et ne dépendent que de votre
fainéantise, à ne pas vouloir comprendre, à ne pas vouloir
expliquer, mais simplement à témoigner d’innombrables
façons, cette célébration d’Agapè.
C’est là où vous vous rencontrez vous-mêmes, comme
vous vous rencontrez les uns les autres. C’est là où il ne
peut plus y avoir la moindre distance, ni le moindre
jugement, mais simplement la légèreté de la danse,
simplement l’évidence de la joie.
En cet instant, de partout dans tous les univers, qui
échappent même au temps et à l’espace, cela se révèle sur
cette Terre, accomplissant les prophéties, accomplissant,
comme vous l’avez vécu individuellement de façon de plus
en plus extensive, le serment et la promesse, non plus
seulement pour les éveillés et ceux qui sont libérés, mais
comme cela a été dit, pour l’ensemble de la création,
comme pour l’ensemble des règnes présents sur cette Terre.
Le Ciel a épousé la Terre et la Terre a épousé le Ciel, là
aussi, pour faire le miracle d’une seule chose, là où rien n’a
jamais été séparé ni divisé, et là où rien ne peut manquer.
Comme cela vous avait été impulsé voilà de nombreux
mois, vous constatez aujourd’hui que chacun de vos mots,