part 3. 1931–1945: prewar and war poetry
Non, ce n’est pas, ce ne sera jamais, car je veille socialement à l’unanime
capacité des organes originaux et je sais qu’en prenant la supériorité générale de
l’organisation prophétique, votre cœur n’osera jamais réserver le mien.
Donc, en vous fixant révérences et filatures, je vous dis fumistement ces
paroles gémissants : «craignons les sens».
Un jour
Un jour
Il y aura autre chose que le jour
Une chose plus franche, que l’on appellera le Jodel
Une encore, translucide comme l’arcanson
Que l’on s’enchâssera dans l’oeil d’un geste élégant
Il y aura l’auraille, plus cruel