•L’électeur Frédéric n’a vait ni la hardiesse ni le génie d’un tel rôle
•Saint-Pierre de Rome, illustré de plus de 130 gravures sur bois
•la lutte de la nationalité française contre la monstrueuse puissance, issue des combinaisons
artificielles de l’hérédité féodale, qui tend à l’asservissement des nationalités européennes
•la passion, la nature, l’individuaté humaine, n’apparaissent que pour étre immolees à la grâce
divine. C’est l’histoire d’une crise de l’ame, d’une renaissance, d’une Vita nuova; le saint eût
rouqi de nous faire mieux connaître l’autre vie qu’il avait quitté. Dans Rousseau, c’est tous le
contraire; il ne s’agit plus de la grace; la nature règne sans partage, elle triomphe, elle s’étale; cela
va quelquefois jusqu ’au dégout. Luther a présenté, non pas l’equilibré de la grâce et de la nature,
mais leur plus douloureux combat. Les luttes de la sensibilité, les tentations plus hautes du donte,
bien d’autres hommes en eut suffert; Pascal les eut évidemment, il les étouffa et il en mourat.
Luther n’a rien caché, il ne s’est pu contenir. Il a donné à voir en lui à sonder, la plaie profonde
de notre nature. C’est le seul homme peut-âtre où l’on puisse étudier à plaisircette terrible anatomie
•le coup de grace
•le premier écrivain par la durée et l’influence de sa langue, de son style
•siècle
•une vraie ’Somme’ théologique, où se trouve impliqué l’ordre civil même, et qui n’est pas, comme
celle de Thomas d’Aquin, le résumé d’un système établi, mais le programne et le code d’un système
à établir ... Luther attire: Calvin impose et retient ... Volonté et logique, voilà Calvin
tuis.
(Tuis.)
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