April] SOCIETYOF BIBLICAL ARCHEOLOGY. [189a
pas être postérieure au IVe ou. au Vs siècle. Le caractère de
cetteécritureest nettement plusancienquesur les papyrus trouvés
au Fayoum. Cetteréservefaite,voicila transcription de M. Halévy
(dans Chwolson,p. 113), sanstraduction. Le même texteforme
le No. 5 dans Layard:—
rryap■onrmoinn»w»p p njnap • • *(?)û^d
pmhihri rrrv *p\ab\ +\pb *nph 'rmaneffa «Ta p
tra pi «ruai1? pi nmn pi •ntev^ pi 'ïïw p rra
"•TO ^13 pT NTlNma ^1 pi "On? MfO pT WyDB
nsn py pi ropoi "ûï njn rm pi prny nSti pojn
w»of m «jnaaa • «wn dwi rrarwWN ""Dira cotw pi
pooa'prmn pV« □ • • Vo • • ■ ■ py • • • n:. • • ■ •* (?) *pbrrV
|qh p« wow • • • mrw 'min ^cny -jtrrirn Dip Dp ^ap
.îtVd
Notes.
- Des six premières lettrespresqu'effacéesla première pourrait
êtreun M. - Ce mot est peut-être à lire QDrTOi égalementde la racine
sceller. - Ellis (dans Layard) lit les trois derniers mots fcVYOtDT
PTVTWtTDilecture graphiquement possible (bien quela fin soit
plutôtn2n)- Ce dernier mota pu être pris dans le sens " d'agissant
avecforce,"de la racine NU.*"Ï "'CTI,comme le comprend aussi
Ellis;cf. Lévy, Chald. Wôrterbuch,II, p. 437 et seq. - Cf. ci-dessus, Note2, à l'inscription C.
- Ellis traduitce mot par sorcery, sens qu'ilpeutavoird'après
le contexte; son étymologie est inconnue. N'est-cepas un dérivé
de F|p12>, voir,envisager(du mauvais œil)? - Le sens isolé est compréhensible; c'est celui à'agriaàle.
Mais, comme ce sens est opposé auxexpressionsprécédenteset
suivantes, on se trouve peut-êtreici devant un mot qui n'est pas
chaldéén,maishébreu: mélange. - Probablement deux noms d'anges (la fin M Pour 7N)>ou
dénominations cabalistiques des forces surnaturelles qui sontin
314