Wrestling with Nature From Omens to Science

(Romina) #1
Mixed Mathematics 171

Royal Society 44 (1990):17–19, suggests that this passage may have been prompted by
Newton’s reading a review of Francesco Grimaldi’s Physico- mathesis de lumine (1665);
Grimaldi had also discussed the substantiality of light (Dear, Discipline and Experience,
235–36).



  1. Isaac Newton, The Correspondence of Isaac Newton, ed. H. W. Turnbull (Cam-
    bridge: Cambridge University Press, 1959–1977), 1:187.

  2. See Bertoloni Meli, “A New World System,” Thinking with Objects, 255–87,
    349–52.

  3. Jean Desaguliers, A Course of Experimental Philosophy (London, 1734–44), 1:69;
    see Larry Stewart, The Rise of Public Science: Rhetoric, Technology, and Natural Philosophy
    in Newtonian Britain, 1660–1750 (Cambridge: Cambridge University Press, 1992).

  4. John Harris, Lexicon technicum, 2nd ed. (London, 1708), s.v. “Mathematicks.”

  5. Ephraim Chambers, Cyclopedia (London, 1728), 1: ii, iii (“Doctrine of Motion”).
    See in general Yeo, Encyclopaedic Visions.

  6. Chambers, Cyclopedia, 1:144.

  7. Ibid., 2:509.

  8. Encyclopédie, ou, Dictionaire raisonné des sciences, arts et des métiers (Paris, 1751–
    1765), 12: 512, s.v. “Philosophie”: “Il est tems de passer au second point de cet article,
    où il s’agit de fi xer le sens du nom de la Philosophie, & d’en donner une bonne defi ni-
    tion. Philosopher, c’est donner la raison des choses, ou du moins la chercher, car tant
    qu’on se borne à voir & à rapporter ce qu’on voit, on n’est qu’historien. Quand on cal-
    cule & mesure les proportions des choses, leurs grandeurs, leurs valeurs, on est mathé-
    maticien; mais celui qui s’arrête à découvrir la raison qui fait que les choses sont, &
    qu’elles sont plutôt ainsi que d’une autre maniere, c’est le philosophe proprement dit.”

  9. D’Alembert, “Detailed Explanation of the System of Human Knowledge” (Ency-
    clopédie, 1751), in Preliminary Discourse, 152; see also Daston, Classical Probability in the
    Enlightenment, 54.

  10. Georges- Louis Leclerc, comte de Buffon, Histoire naturelle, générale et particulière,
    (Paris, 1749), 1: 52: “Dans ce siècle même où les Sciences paroissent être cultivées avec
    soin, je crois qu’il est aisé de s’apercevoir que la Philosophie est négligée, & peut- être
    plus que dans aucun autre siècle; les arts qu’on veut appeller scientifi ques, ont pris sa
    place; les méthodes de Calcul & de Géométrie, celles de Botanique & d’Histoire Na-
    turelle, les formules, en un mot, & les dictionnaires occupent presque tout le monde;
    on s’imagine sçavoir davantage, parce qu’on a augmenté le nombre des expressions
    symboliques & des phrases sçavantes, & on ne fait point attention que tous ces arts
    ne sont que des échafaudages pour arriver à la science, & non pas la science elle-
    même.. .”

  11. Jim Bennett, “Practical Geometry and Operative Knowledge,” Confi gurations 6
    (1998): 195–222.

  12. On natural philosophy lecturers, see John L. Heilbron, Electricity in the Seven-
    teenth and Eighteenth Centuries: A Study in Early Modern Physics (Berkeley: University of
    California Press, 1979). Even Jesuit colleges often boasted experimental cabinets in the
    eighteenth century: see Marcus Hellyer, “The Spread of Experiment,” Catholic Physics:
    Jesuit Natural Philosophy in Early Modern Germany (Notre Dame, IN: University of Notre
    Dame Press, 2005), 181–201, 286–89.

  13. Christian Licoppe, La formation de la pratique scientifi que: Le discours de

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