préparés pour une guerre qu'ils n'en veulent pas. Mais la
paix se prépare par une guerre pour avoir la paix qui se
traduit sur le terrain par une démocratie, un État de droit
. Si je reprend l'exemple égyptien sur l'eau , la société
égyptienne veut une paix dans les structures de l’État ,
qui se résume par un État de droit car comme disait sur
une chaîne de TV libyenne,le général Donald ,ancien
chef des opérations militaires américaines en Afrique :
quoi faire avec un peuple qui ne veut pas se
démocratiser? Et dont je donne une réponse , que le
changement dans la continuité ou la discontinuité doit
revoir les structures de L’État et c'est la faiblesse de ces
États profonds ,ces États classiques non structurés et puis
à revoir les alliances et être plus transparent dans les
politiques d'intervention des pays puissants qui
travaillent dans l'optique d'un colonisateur d'un rapport
de force de maître à esclave et donc de comprendre et de
faire face à un comportement de déstabilisation
sauvage ,des pouvoirs en place. Autrefois le président
égyptien, Sadate , donnait l'impression aux
américains ,...que sa décision politique n'émane pas de
lui mais de tout un collège des conseillés et donc la
décision est collégiale , ce qui n'était pas le cas , mais en
abordant cette phase qui était et toujours cruciale pour
tous les pouvoirs Arabes en place est ne pas être
influencé ou avoir peur des services secrets des pays
puissants qui sont en mesure de renverser les pouvoirs en
place arabes et s'ils n'arrivent pas ,ils saliront et créant
des situations de troubles sociétales chez l'autre État;car