l’État profond est acculé et ce caractère de discrétion fait
partie des gènes des membres des États profonds de
traiter ainsi les choses publiques à l'instar du roi Fahd au
moment de l'invasion du Koweït par Saddam , disait aux
officiers supérieurs américains qui se sont déplacés à
Riyad ,non pas par démocratie mais par ruse à ne jamais
heurter les milliardaires saoudiens des champs de
pétrole, le roi Fahd disait donc,à son conseillé le roi
Abdallah d'accepter l’intervention militaire américaine
pour les protéger de Saddam, et Abdallah lui rétorquait
devant les officiers militaires américains qu'il devrait
demander conseil aux conseillés politiques de son État
profond or cet État profond était le roi Abdallah en
personne et personne d'autres, les américains savaient
pertinemment qu'il n' y avaient ni des conseillés, ni rien
et seul le roi décide et donc ce caractère de discrétion
engendre la bêtise humaine et chez les américains mais
aussi chez les saoudiens ...
''Guillaume II renforce son entente avec François-Joseph
1er, empereur d’Autriche, en lui promettant son aide
militaire en cas de nouveaux problèmes. Au printemps
1914, des accords interviennent entre les États-majors
des deux pays. Dans ces conditions, une guerre devient
possible. En résumé, la stratégie des grandes puissances
à la veille de la Première Guerre mondiale, sans laisser
pressentir l’imminence du conflit, témoigne d’un
dynamisme sans limite. Les nations avancées
s’arrachent les territoires à conquérir et tentent