Une pacification particulière se fait jour en vous, vous
donnant à asseoir, avec de plus en plus d’aisance, la
manifestation en ce monde de votre éternité. En célébrant
la vie, en célébrant l’Amour, tout devient magie, tout
devient signe et tout est occasion de célébrer la vérité,
amenant la légèreté à prendre la place de toute souffrance
comme de toute douleur, qu’elle soit en vous ou n’importe
où sur la surface de la Terre.
La célébration de la fusion des éthers se produisant en ces
jours vous comble d’allégresse, dès l’instant où vous
percevez l’inutilité de toute interrogation, comme l’inutilité
de toute réaction, pacifiant jusqu’au plus intime de vos
cellules. Cette liberté, du dedans comme du dehors, ne
peut plus être contrariée par quelque contrainte des
habitudes de ce monde, découvrant ainsi, à chaque minute,
à chaque souffle, à chaque regard, que vous êtes Cela.
Le sens de mes mots et le sens de votre présence n’a pas
besoin de justification, car cela est juste et cela est vu,
traversant ainsi tous les désordres de ce monde comme
d’éventuels désordres se solutionnant en vous par l’action
de la grâce et l’action de la Vie, portées par l’intelligence de
la Lumière et de l’Amour.
En cette reddition sans condition à votre propre éternité,
vous allégez le poids de ce monde, œuvrant alors aux
ateliers de la Vie, aux ateliers de la création, comme aux
ateliers de la levée des ultimes voiles, là où vous devenez
ce que vous êtes en vérité, n’étant assujettis à aucun rêve
de création comme à aucune évolution. Car la perfection
n’a pas à évoluer, mais simplement à être restituée. Cela