part 3. 1931–1945: prewar and war poetry
Sous les lèvres avides du vent.
Seul le langage
Est le bronze qui dure.
Le Cristal automatique
allo allo encore une nuit pas la peine de chercher c’est moi l’homme des cavernes
il y a les cigales qui étourdissent leur vie comme leur mort il y a aussi l’eau verte
des lagunes même noyé je n’aurai jamais cette couleur-là pour penser à toi j’ai