ESSAI BOW-RIDER
SPÉCIAL
SALON
112 - MOTEUR BOAT MAGAZINE • N° 336 décembre 2017
représentent la puissance
maximale sur cette
coque. C’était une paire de Verado
de 250 chevaux estampillés
du logo « JPO » pour joystick
piloting – de quoi s’offrir
des envolées à près de 44 nœuds
en étant trois à bord avec le plein
de carburant. Le pilotage se fait
en douceur avec les commandes
électriques DTS intégrant
la fonction monolevier. Le volant
au toucher agréable s’incline plus
ou moins en fonction de la position
du pilote.
Le joystick s’avère
fonctionnel
Le joystick nous a agréablement
surpris par son aptitude à
emmener le bateau en
déplacement latéral. L’ensemble
très tonique déjauge en
5 secondes environ. Nous n’avons
pas été ménagés dans le clapot
cannois lors de cette sortie et
les hélices sont sorties de l’eau
à plusieurs reprises, nous forçant
fi nalement à lever le pied. La
carène a montré ses limites dans
la houle courte de face à vitesse
soutenue, mais nous n’étions plus
dans le programme de cette unité
certes sportive mais familiale.
Les rangements sont un point fort
du 290 SDX, avec une mention
spéciale qui peut être accordée
pour le grand coffre arrière
accessible depuis la plage de bain,
pour déposer les affaires
mouillées. ■
Le 290 SDX fi le
à près de 44 nœuds
avec sa motorisation
maximale...
Le passage en motorisation hors-bord a permis de libérer une immense soute
à l’arrière parmi les multiples rangements du bord.
Entre les transats se trouve un compartiment à boissons. Il est possible d’opter pour un bain de soleil classique à l’arrière.
Les toilettes d’une hauteur de
1,35 mètre sont suffi samment spacieux.
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