186 - MOTEUR BOAT MAGAZINE • N° 336 décembre 2017
ESSAI VEDETTE
SPÉCIAL
SALON
la banquette en U et la table
de carré, à tribord la cuisine et leposte de pilotage et, tout à l’avant,
la cabine de propriétaire éclairée
par des hublots latéraux et
zénithaux. Une autre cabinese trouve à bâbord de la descente,
et à tribord la salle d’eau avec
douche et WC.Près de 40 nœuds
en pointe
En mer, le bateau semble un peu
lent à déjauger et le poids des
moteurs tout à l’arrière se faitsentir, mais une fois dans
ses lignes il est parfaitement
à l’aise, vif et nerveux, etil répond rapidement à toutes
les sollicitations du pilote.
La belle carène en V se jouedu petit clapot rochelais.
Pour régler l’assiette, il suffi t
d’utiliser les trims et aussi les deux
fl aps pour le latéral et, poussé
à fond, le Monaco 110 fl irte avecles 40 nœuds. Le bruit avec la baie
arrière ouverte est supportable
et disparaît presque entièrementune fois fermée, un des avantages
d’une motorisation externe. Il ne
reste que les petits sons annexes
d’une unité prototype qui doit être
fi nalisée sur de nombreuxpetits détails. Notons enfi n les toits
de rouf et de casquette de
cockpit ouvrants pour amener airet lumière à la demande,
Une fois dans ses lignes,
le Parker Monaco 110 s’avère vif
et nerveux, tout en répondant
aux sollicitations du pilote.Un passage central sépare le carré
surélevé à bâbord du meuble de
cuisine, intégré au bordé de tribord.Dissimulés sous un plan
de travail monté sur vérin,
les feux et l’évier jouxtent
le poste de pilotage.La cabine de propriétaire, à l’avant, est bien lumineuse. La salle d’eau se situe à tribord de la descente.
les vastes surfaces de bain de
soleil, les nombreux rangements
intérieurs comme extérieurs,
un prix attractif et une facilitéd’utilisation pour comprendre
que ce bateau est un concurrent
très sérieux sur un marchépourtant très encombré. ■
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