French Grammar in Context

(lu) #1
Adjectives 107

b Que pensez-vous de sa pièce (dernier) de théâtre? Elle me paraît (sensationnel).
c Elle va visiter sa tante (vieux) et lui apporter ces gâteaux (délicieux).
d Encore de ces histoires (banal)! Racontez-moi quelque chose de plus (intéressant).
e Les routes (national) sont toujours (encombré) au mois d’août.
f Elle porte une jupe (bleu foncé) et une chemise (bleu clair). (Tout) les deux sont (neuf).
g C’est un espoir (fou), mais auriez-vous un peu de crème (frais)?
h Nous avons passé une soirée (bon) chez nos amies (grec).
i Les trois pages (premier) du roman sont vraiment (passionnant).
j Je cherche un exemple (nouveau) pour illustrer ce argument (vieux).

3 Translate the following sentences into French, paying particular attention to both the position
and the agreement of the adjectives.
a The site consisted of an untidy mass of old dilapidated buildings, the ruins of a former
farmstead.
b These beautiful old pictures pose a very difficult conservation problem.
c It is very difficult to see contemporary French films if you live in a small provincial town in
Britain.
d French foreign policy shows a certain variability.
e The high, white cliffs make a striking landmark.
f He did it on his own initiative. The first two pages are very impressive, aren’t they?
g Have you read his latest book on European monetary policy?
h The large new halls of residence offer modern, practical accommodation.


4 In the following text, make the adjectives in brackets agree as appropriate.


(Cher) bois! Je les connais tous; je les ai battus si souvent. Il y a les bois taillis, des arbustes qui
vous agrippent méchamment la figure au passage, ceux-là sont (plein) de soleil, de fraises, de
muguet, et aussi de serpents. J’y ai tressailli de frayeurs (suffocant) à voir glisser devant mes
pieds ces (atroce) (petit) corps (lisse) et (froid); vingt fois je me suis arrêtée, (haletant), en
trouvant sous ma main, près de la «passerose», une couleuvre bien (sage), roulée en colimaçon
régulièrement, sa tête en dessus, ses (petit) yeux (doré) me regardant; ce n’était pas
(dangereux), mais (quel) terreurs! Tant pis, je finis toujours par y retourner (seul) ou avec des
camarades; plutôt (seul), parce que ces (petit grand) filles m’agacent, ça a peur de se déchirer
aux ronces, ça a peur des (petit) bêtes, des chenilles (velu) et des araignées des bruyères, si
(joli), (rond) et (rose) comme des perles, ça crie, c’est fatigué, – (insupportable) enfin.
Et puis il y a mes préférés, les (grand) bois qui ont seize et vingt ans, ça saigne le cœur d’en
voir couper un; pas (broussailleux), ceux-là, des arbres comme des colonnes, des sentiers
(étroit), où il fait presque nuit à midi, où la voix et les pas sonnent d’une façon (inquiétant).
Dieu, que je les aime! Je m’y sens tellement (seul), les yeux (perdu) loin entre les arbres, dans le
jour (vert) et (mystérieux), à la fois délicieusement (tranquille) et un peu (anxieux), à cause de
la solitude et de l’obscurité (vague)...

Willy et Colette, Claudine à l’école
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