EXERCISES
1 Without looking at the original, complete the following text using the verbs indicated in the
pluperfect tense and make any necessary changes. Check your version against the original
when you have finished.
Il y avait ceux qui _______________ (voyager) comme des oiseaux migrateurs et ceux qui
_______________ (vivre), attachés à la terre, comme les arbres. Certains _________________
(aller) très loin. Je me souviens d’avoir entendu le récit d’un homme qui _______________ (aller)
jusqu’au point où le ciel rencontre la terre: l’homme _______________ (devoir) se pencher pour
ne pas heurter le ciel de sa tête. L’homme _______________ (se sentir) tout à coup seul et il
_______________ (écrire) à sa femme. Son timbre lui _______________ (coûter) mille dollars.
2 Without looking at the original, fill in the gaps with the appropriate preposition, or
preposition + article. Check your version against the original when you have finished.
Quelques-uns étaient allés ___ New York; un autre était allé visiter un frère ___ Montana; mon
grand-père avait navigué ___ la mer Atlantique; une famille avait émigré ___ Saskatchewan; et
des hommes allaient couper du bois ___ les forêts ___ Maine ou ___ Abitibi. Quand ces gens
revenaient, ___ leurs vêtements neufs, même les arbres de la rue principale enviaient un peu
ceux qui avaient voyagé.
3 Without looking at the original, make the adjectives and past participles which are italicized in
the extract below agree as appropriate. Check your version against the original when you have
finished.
Il y avait ceux, donc, qui n’étaient jamais parti... Comme le vieuxHerménégilde. Il était si
vieuxqu’il avait vu construire la premiermaison de notre village. Il était vieuxet pourtant son
moustache était toute noir. C’était une moustache énormequi lui cachait le nez, la bouche et
le menton. Je vois encore la moustache du vieuxHerménégilde comme un grosnuage noirau-
dessus de notre village. Notreparents disaient de lui qu’il avait une santé de bois franc; tout
les tempêtes de la vie n’avaient pas réussi à courber son droitet solidefierté. Au bout d’une
vie, il ne possédait rien d’autre qu’une petitmaison de bois. Sonenfants étaient tous parti. Le
vieuxHerménégilde, lui, avait vécu tout sonvie sans jamais franchir la frontière du village. Il
était d’ailleurs très fierd’avoir vécu ainsi, enracinéà la terre de notre village. Pour donner tout
la mesure de sonfierté, il disait:
- Moé, j’ai vécu tout monvie sans jamais avoir eu besoin des étrangers!
Le vieuxHerménégilde n’était jamais allé courir les forêts lontain, il n’était jamais allé dans les
villages voisinacheter ou vendre des animaux; sonfemme, il l’avait trouvédans le village.
220 French Grammar in Context