Investir_-_27_Juillet_2019

(WallPaper) #1

Investir, le Journal des Finances / N°  2377  /   27  juillet 


ACTIONS / 17


CRITÈRES D’INVESTISSEMENT


PERFORMANCE OPÉRATIONNELLE
lÉVOLUTION DE L’ACTIVITÉ
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  13 %
ÉVOL. 2019 :  7 %
lBNPA
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  27 %
ÉVOL. 2019 :  7 %

CONFIANCE DANS LA SOCIÉTÉ
lSOLIDITÉ DU BILAN
DETTE NETTE / FONDS PROPRES :  68 %
DERNIER ACTIF NET PAR ACTION : 41,96 €
lCONSENSUS DES ANALYSTES
A   60 % 
C   40 % 
V   0 %

INTÉRÊT BOURSIER
lRENDEMENT
DIVIDENDE 2019 ESTIMÉ :  2,20 €
RDT 2018 : 1,4 %   RDT 2019 : 1,5 %
lVALORISATION ESTIMÉE
PER 2019 :  16,9 FOIS
PER 2020 :  15,2 FOIS

COMPORTEMENT DE L’ACTION
lPERFORMANCE DU TITRE
COURS AU 25­7­19 :  151,70 €
VARIATION 52 SEMAINES :  ­ 5,83 %
2019 :  34,49 %
lVOLATILITÉ
BÊTA 52 S. : 1,2 FOIS
EXTRÊMES 52 S. :  166,80 € / 105,60 €

CRITÈRES D’INVESTISSEMENT


PERFORMANCE OPÉRATIONNELLE
lÉVOLUTION DE L’ACTIVITÉ
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  5 %
ÉVOL. 2019 :  5 %
lBNPA
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  9 %
ÉVOL. 2019 :  41 %

CONFIANCE DANS LA SOCIÉTÉ


lSOLIDITÉ DU BILAN


DETTE NETTE / FONDS PROPRES :  2 %


DERNIER ACTIF NET PAR ACTION :  7,51 €
lCONSENSUS DES ANALYSTES
A   54 % 
C   33 % 
V   13 % 


INTÉRÊT BOURSIER
lRENDEMENT
DIVIDENDE 2019 ESTIMÉ :  0,40 €
RDT 2018 : 4,5 %   RDT 2019 : 4,5 %
lVALORISATION ESTIMÉE
PER 2019 :  10,3 FOIS
PER 2020 :  8,8 FOIS

COMPORTEMENT DE L’ACTION
lPERFORMANCE DU TITRE


COURS AU 25­7­19 :  8,83 €


VARIATION 52 SEMAINES :  ­ 3,02 %


2019 :  24,65 %


lVOLATILITÉ
BÊTA 52 S. : 1 FOIS


EXTRÊMES 52 S. :  10,23 € / 6,36 €


LUXE-BIENS DE CONSOMMATION


Seb   La  croissance  reste  forte,  mais 


les  prévisions  n’enthousiasment  pas


périmètre constants, la zone


Amériques a gagné 6,6 %. Les


ventes aux Etats-Unis restent très


perturbées par l’évolution du


marché vers le commerce en


ligne, qui contraint les enseignes


traditionnelles à des déstockages


et à des promotions, quand elles


ne font pas faillite. Et les Améri-


cains repassent moins, ce qui pèse


sur le marché du soin du linge,


malgré un transfert partiel du fer


à repasser vers le défroisseur. Au


Brésil, le deuxième trimestre


2018 avait été très pénalisé par la


grève des transporteurs ; la crois-


sance est repartie très fort (+ 25 %


entre avril et juin).


En Asie, le marché chinois


a ralenti (+ 12,8 % de croissance


organique), après une perfor-


mance d’anthologie en 2018


(+ 26,6 % ). Si le Japon se tient très


bien grâce à un réseau de maga-


sins en propre très profitable, la


C o r é e d u S u d , q u i e s t e n


désaccord commercial avec son


voisin japonais, rencontre des dif-


ficultés. Ainsi, le périmètre asiati-


que hors Chine n’a progressé que


de 0,7 % au premier semestre.


Dans un environnement toujours


troublé par les négociations


autour des échanges commer-


ciaux et par la mutation structu-


relle du secteur de la distribution,


Seb vise une croissance organi-


que du chiffre d’affaires supé-


rieure à 7 % en 2019 et une hausse


du résultat opérationnel d’activité


« autour de 6 % », après + 10,7 % au


premier semestre. - M. B.


NOTRE CONSEIL


l


 RESTER À L’ÉCART : la


valorisation étant deve­


nue exigeante, les investisseurs 


ont pris des bénéfices, mercredi, 


jugeant peut­être les objectifs un 


peu prudents (SK).


Prochain rendez­vous : le 


29 octobre, ventes à neuf mois.


L


e fabricant d’articles culi-


naires et de petit électro-


ménager a connu, entre


avril et juin, son 18
e
trimestre

d’affilée de croissance organique


supérieure à 5 % : les ventes ont


grimpé, à périmètre et taux de


change constants, de 8,2 %. Sur


l’ensemble du premier semestre


2019, elles ont atteint 3,3 milliards


d’euros, soit une hausse de 8,4 %


(en organique) et de 10,3 % en


données publiées, grâce à un effet


devises positif de 0,5 % et à l’inté-


gration, depuis février, de Wilbur


Curtis. Ce spécialiste américain


des machines à café filtre vient


compléter l’activité de WMF dans


le café pour professionnels,


celui-ci étant positionné sur les


machines expresso. Racheté en


2016, WMF est moins convain-


cant dans sa division Grand


Public et fait l’objet d’un plan de


renforcement de sa compétiti-


vité, afin de tendre vers une


marge opérationnelle en phase


avec celle de Seb, d’environ 10 %.


MOINS DE REPASSAGE


Très international, le groupe s’est


étendu, au premier semestre,


dans toutes les zones où il est pré-


sent. En Europe occidentale (un


tiers des ventes), le chiffre d’affai-


res a crû de 3,6 %, malgré la stabi-


lité du marché français (qui


devrait repartir au second semes-


t r e ) e t l a m o r o s i t é d e s


consommateurs britanniques,


bridés par la perspective


du Brexit. A taux de change et


MÉDIAS-PUBLICITÉ


TF1   Forte  hausse  de  la  marge 


opérationnelle


L’


objectif d’une marge opé-


rationnelle courante de


plus de 10 % cette année


(contre 8,6 % et 11,7 % hors Coupe


du monde de football en 2018) a


de bonnes chances d’être dépassé,


si l’on en juge par celle de 14,2 %


affichée fin juin (+ 4,8 points).


Il est vrai que le coût des grilles de


programmes des chaînes gratui-


tes a reculé de 10,6 %, à 446,2 mil-


lions d’euros. Les recettes


publicitaires des antennes en clair


(incluant leurs déclinaisons


numériques comme le replay)


sont restées stables (– 0,1 %, à


791,4 millions). Ces deux évolu-


tions s’expliquent notamment par


la non-récurrence de la Coupe du


monde 2018, un événement non


rentable qui avait pesé sur


la marge.


Il est confirmé que les dépenses


de programmes se limiteront à


990 millions en moyenne en 2019-


2020, contre 1.014,2 millions en



  1. Cela n’empêche pas la diffu-


sion de programmes de qualité,


comme la Coupe du monde fémi-


nine (un événement sportif défi-


citaire, malgré son succès, mais


utile pour l’image de marque).


NOUVEAUTÉS ATTENDUES


Dans les tuyaux figure un nou-


veau concept de télé-crochet,


Mask Singer, où des célébrités


viendront chanter masquées. La


série Le Bazar de la charité est


aussi très attendue, ainsi que la


Coupe du monde de rugby. Déjà,


au premier semestre, la part


d’audience sur la cible commer-


ciale des femmes de moins de


50 ans s’est élargie de 0,2 point,


à 32,7 %.


L’activité numérique ne se limite


pas à celle des chaînes de télévi-


sion, qui totalisent 17,3 millions de


visiteurs uniques par mois sur le


Net. Il faut aussi compter avec le


pôle Unify, qui rassemble


27,5 millions de visiteurs uniques


autour de sites Web comme Aufe-


minin, Doctissimo ou Marmiton.


Ces deux chiffres ne doivent tou-


tefois pas être additionnés,


compte tenu des recoupements.


Le marché espère maintenant


un décret autorisant une forme


de ciblage publicitaire sur les


chaînes classiques diffusées par


Internet. Un effet serait alors visi-


ble en 2020. L’an prochain, les


revenus publicitaires devraient


aussi augmenter en Belgique,


après le changement de régie.


Limités à quelques millions, ils


pourraient dépasser 10 millions à


moyen terme, a précisé le direc-


teur financier, Philippe Denery.



  •  J.­L. C.


NOTRE CONSEIL


l


 ACHETER : le redressement


de la rentabilité devrait se


poursuivre.


Objectif : 12 € (TFI).


Prochain rendez­vous : le 


30 octobre, résultats trimestriels.


TF
En €

5


7 , 5


10 , 0


12 , 5


15 , 0


2014 15 16 17 2019


8,


BIENS D’ÉQUIPEMENT


Nexans   Une  amélioration 


indéniable  à  confirmer


s’est soldé par une perte de


116 millions d’euros.


UN REDRESSEMENT DANS 


L’ENSEMBLE DU GROUPE


Christopher Guérin, le direc-


teur général, a déclaré : « La


dynamique de redressement est


homogène dans le groupe, que ce


soit en termes de zones géographi-


ques ou en termes de business.


Notre plan de transformation,


après six mois intenses, livre des


avancées significatives sur la


r é d u c t i o n d e s c o û t s, n o t r e


programme Shift, et la croissance


sélective. »


« Les différents volets du plan de


transformation sont tous en phase


opérationnelle », a ajouté la


société. La forte simplification de


l’organisation actuelle est en


cours et le volet Shift – qui consti-


tue une approche globale pour


une transformation durable – a


été implanté sur 12 unités priori-


taires. Parallèlement, le nouveau


plan d’économies visant la réduc-


tion des frais fixes, hors salaires, a


été lancé dans toutes les unités.


Enfin, le programme d’améliora-


tion de la performance indus-


trielle s’est vu accorder des forces


vives pour sa mise en œuvre.


Pour 2019, Nexans table sur un


Ebitda compris entre 360 et


390 millions d’euros, contre


325 millions en 2018 et 411 mil-


lions en 2017. Du fait de la provi-


sion de restructuration, la perte


nette devrait être proche de


110 millions d’euros.



  •  J.­L. M.


NOTRE CONSEIL


l


 RESTER À L’ÉCART : le 


redressement est en cours.


Par ailleurs, les mégatendances 


dans le monde de l’énergie et des 


données d’ici à 2030 sont solides. 


Pour autant, nous réitérons notre 


conseil de prudence pour tenir 


compte du ralentissement de la 


croissance mondiale et d’un 


risque de 


correction de la Bourse, notam­


ment pour les cycliques (NEX).


Prochain rendez­vous : le 


7 novembre, information finan­


cière du troisième trimestre.


L


e spécialiste des solutions


de câblage a agréablement


surpris la communauté


financière, mercredi 24 juillet,


avec la publication de ses résul-


tats semestriels. Le chiffre


d’affaires s’est établi à 3.432 mil-


lions d’euros et la croissance


organique a atteint 5 %. Autre


élément réconfortant, l’excé-


dent brut d’exploitation (Ebitda)


s’est élevé à 195 millions, contre


153 millions pour la même


période de 2018, soit une pro-


gression de 19 % en données


comparables. Quant au plan


New Nexans, il a contribué à


hauteur de 48 millions à l’Ebi-


tda, ce qui a permis de plus que


compenser l’effet ciseaux de


prix et de coûts, qui a pesé pour


30 millions. Le bénéfice opéra-


tionnel est ressorti à 113 millions


d’euros, offrant une rentabilité


de 4,9 %, contre 3,7 % à juin 2018.


A l’inverse, les charges de réor-


ganisation ont été de 182 mil-


lions, ce qui a eu un impact sur le


résultat net part du groupe, qui


Nexans
En €

20


25


30


35


40


45


50


55


2014 15 16 17 2019


31,


PHARMACIE-SANTÉ


Ipsen   Belle  dynamique, 


mais  la  menace  du  générique  plane


de l’acquisition de l’américain


Clementia.


Le titre s’est toutefois replié de


1,4 %. La menace de l’arrivée d’un


générique de Sandostatine, de


Novartis, se rapproche. Teva va le


lancer au second semestre dans


des pays européens clés. Le géné-


riqueur envisagera certainement


d’attaquer ensuite les Etats-Unis,


marché le plus lucratif pour ce


produit. Pour le moment, la visibi-


lité est encore faible sur ses ambi-


tions outre-Atlantique.


ÉPÉE DE DAMOCLÈS 


Rappelons que Somatuline est


encore protégé jusqu’en 2021 aux


Etats-Unis (ce qui n’est plus le cas


pour Sandostatine), mais son bre-


vet a expiré en Europe.


Ipsen se montre confiant.« Il n’y a


pas d’interchangeabilité médicale


entre notre produit et le générique


de notre concurrent. L’impact, pro-


gressif, sera donc principalement


sur le prix en Europe où nous réali-


sons 30 % des ventes de Somatuline.


Nous avons les moyens d’y accélérer


nos gains de parts de marché grâce


au lancement en cours d’un nou-


veau système d’injection. Les objec-


tifs pour 2022 intègrent l’arrivée


d’un générique au niveau mondial »,


indique le directeur financier,


Aymeric Le Chatelier.


A cet horizon, le groupe vise


3,2 milliards de facturations avec


une marge opérationnelle de plus


de 32 %.


Il dispose de 1 milliard pour réali-


ser de nouvelles acquisitions des-


tinées à compenser l’impact de


l’arrivée du générique dans les


prochaines années. - A. B.


NOTRE CONSEIL


l


 VENDRE : le titre risque 


d’être sous pression tant que


les investisseurs n’auront pas bien 


mesuré l’impact du générique qui 


touche le plus important produit 


du groupe. En dépit de belles 


perspectives, nous préférons 


vendre à court terme (IPN).


Prochain rendez­vous : le 


24 octobre, chiffre d’affaires 


à neuf mois.


L


e laboratoire pharmaceuti-


que a publié des résultats


semestriels de bonne fac-


ture. L’objectif de croissance


annuelle a été relevé de 13 % à


14 % et la prévision d’une marge


opérationnelle élevée de 30 %


(contre 29,7 % un an plus tôt) con-


firmée. Le chiffre d’affaires, qui


s’est établi à 1,2 milliard sur le


semestre, a grimpé de 15,5 %


(+ 14,3 % à périmètre constant).


SUCCÈS DE SOMATULINE


La division Oncologie, qui repré-


sente désormais 71 % des factura-


tions, a été la plus dynamique


(+ 24 %), toujours portée par le


succès de Somatuline (traite-


ment des tumeurs neuroendocri-


nes), et a continué à gagner des


parts de marché outre-Atlanti-


que sur son unique concurrent,


Sandostatine, de Novartis. Ce


médicament phare, le plus


important d’Ipsen (45 % de ses


facturations), est aussi le premier


de l’histoire du groupe à avoir


atteint 1 milliard d’euros de chif-


fre d’affaires en 2018. Bonne nou-


velle, les traitements récemment


lancés, respectivement Cabo-


metyx (cancer du rein) et Oni-


vyde (cancer du pancréas), ont


continué à monter en puissance


avec des progressions semestriel-


les de 80 % et de 42 %.


Par ailleurs, le groupe a pris de


l’avance sur son objectif annuel


de rentabilité avec une marge


opérationnelle qui s’est établie à


31,5 % (soit 1,2 point de plus qu’au


30 juin 2018). Enfin, la dette nette


a atteint 1,5 milliard contre


253 millions à fin 2018 en raison


CRITÈRES D’INVESTISSEMENT


PERFORMANCE OPÉRATIONNELLE
lÉVOLUTION DE L’ACTIVITÉ
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  0 %
ÉVOL. 2019 :  4 %
lBNPA
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  NS
ÉVOL. 2019 :  18 %

CONFIANCE DANS LA SOCIÉTÉ
lSOLIDITÉ DU BILAN
DETTE NETTE / FONDS PROPRES :  23 %
DERNIER ACTIF NET PAR ACTION :  32,74 €
lCONSENSUS DES ANALYSTES
A   64 % 
C    36 % 
V   0 %

INTÉRÊT BOURSIER
lRENDEMENT
DIVIDENDE 2019 ESTIMÉ :  0,70 €
RDT 2018 : 2,2 %   RDT 2019 : 2,2 %
lVALORISATION ESTIMÉE
PER 2019 :  10,4 FOIS
PER 2020 :  9,6 FOIS

COMPORTEMENT DE L’ACTION
lPERFORMANCE DU TITRE
COURS AU 25­7­19 :  31,21 €
VARIATION 52 SEMAINES :  6,37 %
2019 :  28,28 %
lVOLATILITÉ
BÊTA 52 S. : 1,5 FOIS
EXTRÊMES 52 S. :  33,00 € / 21,69 €

CRITÈRES D’INVESTISSEMENT


PERFORMANCE OPÉRATIONNELLE
lÉVOLUTION DE L’ACTIVITÉ
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  15 %
ÉVOL. 2019 :  13 %
lBNPA
ÉVOL. MOYENNE (2016­2018) :  37 %
ÉVOL. 2019 :  15 %

CONFIANCE DANS LA SOCIÉTÉ
lSOLIDITÉ DU BILAN
DETTE NETTE / FONDS PROPRES :  13 %
DERNIER ACTIF NET PAR ACTION : 22,00 €
lCONSENSUS DES ANALYSTES
A   69 % 
C    25 % 
V      6 % 

INTÉRÊT BOURSIER
lRENDEMENT
DIVIDENDE 2019 ESTIMÉ :  1,10 €
RDT 2018 : 0,9 %   RDT 2019 : 1 %
lVALORISATION ESTIMÉE
PER 2019 :  16,6 FOIS
PER 2020 :  15,1 FOIS

COMPORTEMENT DE L’ACTION
lPERFORMANCE DU TITRE
COURS AU 25­7­19 :  112,10 €
VARIATION 52 SEMAINES :  ­ 22,07 %
2019 :  ­ 0,66 %
lVOLATILITÉ
BÊTA 52 S. : 0,7 FOIS
EXTRÊMES 52 S. :  155,95 € / 98,85 €
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