Poetry of Revolution: Romanticism and National Projects
Plus haut que les hautes montagnes? C’est que mon jeune front devint pâle et bien lourd, Je sentis mes genoux faiblir de jour en ...
Puis, quand notre soleil voyage dans l’espace Et, de ses rayons d’or remplit l’immensité, Quel œil d’aigle oserait fixer la maje ...
Doute presque du ciel à cause de la femme. Ah! j’ai souffert assez; j’ai le cœur labouré Et j’ai le front meurtri comme ton sein ...
Eternise leurs noms, environne d’honneurs Le seul asile enfin où leur triste poussière A trouvé la justice et la paix sur la ter ...
“Resplendissants d’éclat et de gloire profonde. “Prends ton casque, ô Génie, où flotte un noir cimier “Plus noble que la flèche ...
Ah! si j’en crois le ciel, ce nouvel an éclose Ne porte comme toi que l’orage en ses flots. Je regarde, et le jour n’est qu’un s ...
APPENDIX B POEMS BY OSWALD DURAND All of Durand’s poems are taken from his 1896 collection, Rires et Pleurs. DÉDICACE d’il y a v ...
Oiseau de notre sphère, à votre souffle éclos? Ces pages qu’au lecteur insouciant je livre, Comme le ruisselet aux mers livre se ...
Y forment un instant de ravissants tableaux; Mais, plus tard, quand la Nuit aux pieds d’argent étale Sa robe sur la nef des joye ...
Sous la verte feuillée entrelacer leurs ailes; Le zéphir qui frémit la fait frémir aussi; C’est alors que de Dieu la voix dit: « ...
A notre esprit, qui plane solitaire Dans l’idéal et l’azur, Qu’importe, ami, cet affreux terre à terre --Ce monde où tout est ob ...
Nous t’enseignons aux accents de la lyre! --Toi, Nature, inspire-nous! Nous préférons à tout ce que le monde Appelle félicité, L ...
Tous ces vautours, dont l’un, quand l’autre se retire, Coupe à son tour sa part du sol de nos aïeux! « Allons! A celui-ci, deman ...
Où nous étions. Puis l’Égérie Cria: « Patrie! » --Et nous chantions: --Salut, ô plaines! O verts gazons! Tièdes haleines! Bleus ...
Avaient pour notre amour des rayons plus brillants, Et que l’onde, où voguaient quelques lointaines voiles, Prenait rien que pou ...
L’un revue encore à son Hermance, L’autre espère des jours sereins. Elle revoit la blanche étoile Que pas un nuage ne voile, Et ...
Adieu, beau pont de pierre et tes eaux si limpides! Adieu! mon luth, pour vous, n’a plus que des soupirs. Je chante maintenant l ...
Quand les vierges y vont en rond S’asseoir, foulant les fleurs jalouses, Et, devant nous, baissant le front, Dis-nous le charme ...
J’arrive à l’heure pure où les brises nocturnes Se parfument aux fleurs qui s’entr’ouvrent le soir... Mais ma muse, à marcher, u ...
Faire vibrer son luth sous ton souffle divin! C’est que pour nous parler dans la langue immortelle, Pour prendre son essor vers ...
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